Le Royaume de Jakar

Assassin, Ombre, Artisan, Sage...Qui choisirez-vous pour mener à bien votre mission ? Sauvez le Royaume ou mettez le à feu et à sang !
 
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 Viladra Memphis

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Melley
Viladra Memphis
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Viladra Memphis
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MessageSujet: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitimeJeu 27 Déc - 15:49



Viladra MEMPHIS







Célibataire
Maitre Ombre
La trentaine
Sexe féminin
Validé par Melley


Mon caractère

J’ai l’impression de vous faire un petit mix entre les qualités et défauts en vous écrivant son caractère, mais allons-y quand même…
La première chose que l’on remarque chez Viladra, c’est sa froideur écrasante bien qu’elle soit loin de se montrer agressive pour autant. Peu encline à la conversation, elle n’aime pas se lier aux autres, peut-être par crainte ou bien par envie de solitude… Difficile de le deviner. Quand on l’aborde, et c’est assez rare, elle vérifiera avant toute chose si vous êtes un allié ou un ennemi. Une fois rassurée, la seconde difficulté sera de la faire parler afin qu’elle lâche un peu plus de deux mots. Non, Viladra n’est pas méprisante au point de ne pas s’adresser aux autres, mais elle n’a pas pris l’habitude de manier les coutumes de la sociabilité et les arts de la conversation. Pour elle, parler de la pluie et du beau temps n’a aucun sens et lorsqu’elle voit bon nombre des siens s’arroser copieusement d’injures pour savoir qui est le plus fort, elle ne comprend pas.
La force mentale, chez elle, réside dans son sang-froid et son analyse calculatrice de son environnement. Quand elle connait l’endroit où elle se trouve, les points forts comme les points faibles, elle ne risque plus rien, à ses yeux.
Viladra se met rarement en colère car peu de choses lui permettent de l’être. En effet, contrairement à beaucoup de personnes qui ont subi de graves traumatismes, elle pense ne pas en avoir eu et il est donc difficile de toucher un sujet qui fâche. Pourtant, il y en a eu des choses à redire, sur son enfance.
Dans les cas où elle se fâcherait, Viladra ne serait pas du genre crier et à se désordonner. Peut-être qu’à ce moment-là, une certaine haine pourrait remonter jusqu’à elle, la rendant sans doute moins détachée qu’à l’habitude. Rares sont ceux qui l’ont vu ainsi, mais on raconte qu’il lui est arrivé une fois de tuer un homme et de s’acharner sur son corps à mains nues jusqu’à ce qu’il ne devienne plus qu’une chose indéfinissable. Qui était-il et pourquoi l’a-t-elle fait, personne ne le sait.

L’amitié, l’amour et toutes les autres formes d’affections lui sont inconnus. Elle a pourtant connu des marques de tendresse mais jamais elle n’a pu les reconnaître et elle s’est enfoncée dans l’idée que l’amour n’était qu’un prétexte de la part des hommes et des femmes pour satisfaire leur plaisir de la chair. Quant à l’amitié, elle ne fait confiance à personne mais exècre par-dessus tout que quelqu’un se confie à elle. L’individualisme, voilà ce qui la représente, à ses yeux.
Il lui est déjà arrivé d’accorder une certaine forme d’importance à quelqu’un mais lorsque cette personne lui a été arrachée, elle n’a senti qu’un vide éphémère qui disparut rapidement. Au final, l’indifférence fait parfois beaucoup plus de dégâts que la colère ou le rejet… Peut-être que si on s’était montré plus rude ou plus aimant avec elle, quel que soit l’extrême, Viladra n’aurait pas été ce qu’elle est aujourd’hui.
Viladra déteste peu de choses dans la vie, mais elle n’aime pas grand-chose non plus. Plutôt féminine, elle n’est pas non plus très attachée à ce qu’elle porte bien qu’elle prenne soin d’être toujours vêtue correctement. Ne possédant pas de modèle féminin comme masculin, elle n’a pas tendance à se diriger vers le même type de personnes non plus ce qui explique sans doute pourquoi elle ne va vers personne, en fait…
Quant à sa froideur, il est difficile de l’expliquer. Pourquoi se montre-t-elle si méfiante et pourquoi montre-t-elle une forme de rejet à toute forme de liaison, c’est assez compliqué à décrire. Elle ne possède pas pourtant de chocs psychologiques apparents… Mais ce que personne ne sait, c’est que son âme s’est scindée en deux, faisant d’elle une femme tout à fait normale d’apparence mais qui est souvent plongée dans de longues conversations internes sous son apparence impassible. Peut-être s’agit-il là d’un moyen de garder son équilibre mental… ?



Mon physique

Le physique, cette enveloppe de chair qui ne s’expose qu’à la vue des autres et bien peu à celui qui l’a revêt… Viladra se vit dans un miroir lors de sa dix-septième année. Avant cela, elle n’avait que les simples avis de ses proches et les pâles reflets qu’elle pouvait parfois apercevoir dans les flaques de condensation. Si elle avait su à quel point la nature ne l’avait pas négligé, peut-être aurait-elle alors connu le concept de beauté…

C’est étonnant car son visage changea peu durant les années qui défilèrent. Elle afficha certes un visage tout en rondeur lors de sa jeunesse mais on voyait déjà là les traces d’une maturité physique étonnante pour un enfant de son âge… Des joues à peine pleine, des yeux qui ne reflétaient qu’une simple expression de lassitude, elle n’avait pas cette engouement de la découverte ni l’insouciance juvénile qui rend les jeunes exubérants et attachants à la fois. Oh, elle n’était pas non plus désagréable ou effrayante par son manque d’émotion mais son expression changeait peu, se contentant d’endurer et de continuer une existence monotone.
La vie lui donna un physique agréable qui lui causa autant d’avantages que de désagrément. Déjà grande pour son âge, elle dépasse aujourd’hui la plupart des femmes et peut regarder un homme dans les yeux sans avoir à trop lever la tête. Une silhouette longiligne et bien proportionnée, ses jambes interminables affichent une mince musculature qui démontre là une vie plutôt active et une habitude à se déplacer souvent. Un buste bien dessiné affichant des courbes voluptueuses sans pour autant rentrer dans les excès, elle possède une gestuelle souple toute en finesse.
Le peau très blanche puisqu’elle n’a pas vu souvent le soleil, sa peau diaphane ne laisse pas pourtant percer un réseau de veines à croire qu’aucun sang n’irrigue son être.

Son visage est peut-être le plus étrange qu’il y ait chez elle. Plutôt joli, son regard constamment plongé dans le vide possède un effet négatif qui n’incite pas les gens à venir lui parler. Assez froide bien qu’elle soit plus désintéressée qu’autre chose, elle sourit peu mais ne tire pas la tronche pour autant… En fait, elle parait plutôt vide comme personne, ce qui n’est guère flatteur…
Le visage fin, les pommettes hautes, ses yeux sont d’un bleu clair qui démontre là une fragilité sous une lumière trop vite. Légèrement effilés, de longs cils ornent sa paupière comme le soulignement discret d’un trait de fumée. Un nez droit plutôt quelconque se plaçant juste au-dessus d’une bouche aux lèvres pleines et légèrement rosées, ses fins sourcils noirs complètent un tableau plutôt valorisant.
Viladra possède une longue chevelure d’un noir profond qu’elle n’orne pas souvent d’objets. Laissée librement tomber dans son dos, elle les attache parfois sommairement par deux longues épingles quand il lui faut se mouvoir avec rapidité. En dehors de ça, elle ne possède aucun signe particulier si ce n’est le tatouage d’un serpent qui commence en bas de son dos, terminant en dessous de sa poitrine après avoir fait le tour complet de son buste.

Dans sa garde-robe, Viladra possède uniquement des pantalons et des hauts en cuir souple d’un noir mat qui lui assurent une discrétion optimale la nuit ainsi qu’une liberté de mouvement complète. Portant parfois une ceinture qui lui permet d’accrocher ses coutelas et ses nombreuses armes de jet, elle en place parfois autour de ses cuisses ou à des ceinturons placés derrière ses chevilles.
Se revêtant parfois d’une cape à capuche légère, Viladra est habituée au froid et n’a pas vraiment le besoin de se couvrir chaudement même en période de grands froids. Evidemment, ce n’est pas une surfemme (encore que *sbaf*) et elle peut très bien se chopper un rhume si elle exagère trop…

Bref, c’est une jolie femme mais qui possède un aura qui aurait le même effet que si elle avait été très laide… Comme quoi, les apparences sont trompeuses !



Mes défauts

Viladra est une femme qui possède énormément de défauts que l’on pourrait considérer comme des qualités et des qualités que l’on pourrait voir comme des défauts. Dans cette seconde catégorie, nous pouvons citer en premier son manque flagrant de sociabilité ainsi que l’effet de répulsion qu’elle semble causer chez les autres malgré un physique pourtant avantageux.
Viladra savait autrefois aborder les gens avec assurance et sympathie. Elle ne manque pas de confiance en soi, loin de là, mais il est vrai qu’elle n’est désormais pas du genre à se lier aux inconnus, encore moins quand ceux-ci ne partagent pas ses objectifs. Plutôt glaciale, son cynisme a baissé d’un cran mais elle ne se montre pas encore comme la meilleure amie que l’on souhaiterait avoir… Silencieuse, elle ne s’exprime pas beaucoup, préférant œuvrer dans l’ombre et ne parler que pour le strict minimum. S’attachant peu, elle se montrera incapable de comprendre les émotions les plus douces de la part des autres, estimant qu’une vie n’est qu’une existence parmi tant d’autres et que seule la puissance détermine la valeur de celle-ci. Ainsi, elle n’hésitera pas à sacrifier quelqu’un pour réaliser l’un de ses desseins, non pas par lâcheté ou cruauté, mais tout simplement par efficacité. Dites-lui qu’elle est méchante, elle ne comprendra pas où vous voulez en venir car pour elle, elle agit pour la justice… Mais une justice assez personnelle, je l’avoue.
Dotée d’une mémoire courte déplorable ou peut-être bien d’un manque d’attention flagrant, Viladra serait capable de vous croiser un matin et de vous avoir déjà oublié à l’heure du diner. Mémorisant pourtant très bien les lieux où elle se trouve, elle est en revanche incapable de vous décrire avec précision le visage d’une personne qu’elle connait peu… Seul un évènement particulier ou une forte émotion lui permet de se rappeler correctement de quelqu’un.
En parlant d’émotions, cette jeune femme n’est pas du genre à se mettre en colère très facilement mais en contrepartie, elle sourit très peu, et avec douceur bien plus rarement encore. Dénuée de compassion ou de pitié, elle n’est pas dotée d’un sadisme développé mais jamais sa main n’hésitera dans un acte barbare et irréversible. Peut-être qu’à ce niveau-là, on peut voir en elle plus du domaine de la machine que de l’humain…

Physiquement, Viladra possède une force appréciable mais qui est loin d’égaler celle que possèdent les hommes habitués à travailler leur musculature. Plutôt fine, elle serait capable de manier des armes lourdes comme la claymore ou bien la hache mais avec beaucoup moins de vitesse que le ferait son semblable masculin. Autant dire qu’entre femmes, elle se débrouillerait bien au bras de fer, mais face à un homme entrainé, elle aurait tendance à céder très facilement.
Viladra possède une vue assez moyenne, il faut l’avouer. Ses yeux abimés à force d’être restés dans l’obscurité durant de longues années, la lumière vive la fatigue et elle ne peut pas voir aussi loin que le ferait quelqu’un de normal. Non, quand on est une ombre, on le devient jusqu’au bout…
Plus axée sur le sprint, elle est assez endurante mais sera incapable de courir à grande vitesse pendant de longues heures. Non, pour tenir il lui faudra ralentir le rythme afin de ménager ses muscles. Néanmoins, c’est un défaut peu important quand on sait que l’on peut se déplacer à cheval ou en marchant…



Mes qualités

Viladra possède des défauts, mais aussi des qualités bien que peu de personnes acceptent de l’admettre. Bien souvent évitée du fait de son caractère particulièrement froid, elle n’est guère appréciée et si ça lui convient parfaitement, il n’est pas facile non plus de discerner ses points forts.
Nous pouvons néanmoins noter un sang-froid admirable qui frôlerait presque avec de l’inconscience. Rarement étonnée, très peu choquée, vous pouvez l’insulter pendant des heures, tenter d’atteindre ce que vous croyez être ses points faibles, elle ne réagira sans doute pas comme vous l’espérez. Du genre à trouver l’amusement là où il n’y est normalement pas, elle verrait sans doute dans vos tentatives un moyen de la faire rire. Chose assez difficile en soi, je vous l’accorde…
Bon nombre de personnes l’accuse d’intérioriser au lieu de s’exprimer mais il n’en est rien. Les mots glissant sur elle comme l’eau sur les plumes d’un canard, elle ne comprend pas souvent pourquoi les individus expriment le besoin de se libérer par la colère, la haine, la joie ou même l’amour. Elle est accessible à toutes ces émotions, évidemment, mais elle ne les a que peu connu bien qu’elle n’ait pas non plus été particulièrement malheureuse. En réalité, Viladra a toujours été détachée de la réalité ce qui fit d’elle la femme imperturbable qu’elle est aujourd’hui.
Viladra possède une capacité d’analyse appréciable, elle sait trouver ce qui n’est pas censé être à sa place et ce qui devrait l’être. Bien qu’elle oublie facilement un visage, sur le moment elle sera capable de le décrypter pourvu que son interlocuteur ne soit pas un as de l’impassibilité ou de la tromperie. Mieux encore, elle peut s’approprier les émotions de la personne qui lui parle afin de mieux savoir ce qu’il faut répondre. Evidemment, cette empathie naturelle, vestige de son enfance, n’est pas bien souvent exploitée, au contraire…

Physiquement, Viladra est plutôt une belle femme bien qu’elle semble l’oublier à certains moments. Cet atout, souvent oublié lorsque l’on aborde sa froide personnalité, fait d’elle quelqu’un qui attire l’attention ce qui est un bon point… comme un mauvais.
Toute en souplesse et en fluidité, Viladrait se montre précise dans ses mouvements et ne fait rien de superflu. Lorsqu’elle se bat, elle agit avec furtivité et rapidité, ne s’attardant jamais là où un simple mouvement suffit. Ombre parmi les ombres, elle sait se dissimuler avec efficacité, transformant sa silhouette en une simple esquisse collée à un mur plongé dans l’obscurité. Sprinteuse aguerrie, elle arrive bien souvent à semer ses adversaires lorsqu’une mission tourne mal au point de pouvoir les prendre à revers. De plus, son moral d’acier combiné à une gestuelle vive et précise fait d’elle une tueuse redoutable qui n’a jamais hésité à égorger quelqu’un quand cela lui était nécessaire.
Puisque Viladra ne sait pas accorder l’importance méritée à certaines choses, ça lui permet de ne pas se poser les questions qui, chez des gens plus attentifs, pourraient retenir ses gestes.
Viladra possède une mauvaise vue mais son ouïe, quant à elle, est extrêmement développée. Ayant été habituée à vivre dans l’obscurité, elle est capable de ressentir une simple présence grâce aux infimes battements d’un cœur se trouvant proche d’elle. Son odorat, lui aussi assez développé, ne lui fait jamais défaut et elle est capable de remettre facilement un nom sur une odeur ou une voix. Evidemment, ce n’est pas une capacité qui marche à cent pour cent, mais elle a peu de marge d’erreur…



Mon passé


Le mal règne dehors, Viladra. Il ne faut pas sortir… Tiens, approche-toi de moi, plutôt, que je te voie un peu plus.

J’ai toujours vécu avec mon oncle et son beau-fils. Je ne sais pas vraiment où nous vivions, non loin de la côte d’après ce que j’ai compris, mais ne mettant pas le nez dehors je ne savais même pas à quoi ressemblait la mer. Non, dehors c’est le mal, la vilenie et le désespoir. Heureusement qu’ils étaient là pour me protéger…

Je suis née dans une vieille maison. D’après ce que l’on m’a raconté, ma mère perdit la vie lorsque j’expirai mon premier souffle et mon père était un homme qui n’avait pas assumé ses joies éphémères de la nuit. Orpheline, je n’avais même pas conscience qu’il s’agissait d’un cas plutôt rare dans la vie car pour moi, mon enfance et le début de mon adolescence ne fut que sous la protection de deux personnes…
Remise entre les mains du frère de ma génitrice, il ne m’accorda pas d’attention particulière mais ne me brutalisa jamais. Vivant dans des souterrains aménagés, il craignait la vie extérieure plus que tout autre et ce fut ainsi que je connus alors la vie dans l’ombre sans jamais connaître les rayons du soleil.

Quand mes premiers souvenirs arrivèrent, j’étais déjà dans les salles obscures de mon oncle, une lumière vacillante qui m’accompagnerait durant de longues années. Mon beau cousin avait quelques années de plus que moi, peut-être trois ou quatre, peut-être plus. Il était assez désagréable mais il ne porta jamais la main sur moi méchamment et puis, nous avions besoin de lui. Après tout, il était le seul qui se risquait à l’extérieur pour nous apporter ce que nous ne pouvions cultiver sous terre… Car les salades blanches et les champignons, ça ne suffisait pas à nourrir un trio pour toute une vie… Mais pour la viande, on pouvait se rendre dans les cavernes naturelles et tuer les mammifères qui s’y rendaient la nuit, s’y croyant en sécurité. Des lapins, des gros rats… C’était ce qu’il fallait.
Aujourd’hui, je me débrouille parfaitement sur les surfaces rocheuses et peu de personnes m’égalent à l’escalade. En revanche, jetez-moi dans l’eau et je risquerai de me noyer en quelques secondes… Il fallait dire qu’à part un lac souterrain dans lequel je ne me risquais pas, je n’avais pas eu l’occasion de me baigner bien souvent. Hormis la vasque de pierre dans laquelle mon beau-cousin et moi-même nous nous lavions, je ne connaissais pas la sensation d’être entièrement immergée sans avoir pied… Et rien que cette idée, ça me terrifiait au plus haut point.

Je ne faisais pas grand-chose dans notre habitat… J’avais acquis l’expérience de la chasse, je connaissais toute la flore souterraine mais je ne faisais pas grand-chose d’autre. Parfois, je m’essayais à la peinture sur des pans de roche entiers, décorant ainsi les cavernes qui étaient rattachées à notre lieu de vie mais le choix des couleurs était plutôt limité. Du rouge, du vert, du brun… Et ça s’arrêtait là. Personne ne me donnait son avis mais je ne semblais pas être mauvaise. J’étais surtout dans l’abstrait, personne n’aurait compris la signification de mes œuvres, de toute manière…
A douze ans, mon cousin se montra de plus en plus proche de moi et je compris alors les instincts primaires masculins. Ayant toujours partagé une intimité très proche avec lui depuis ma naissance, je ne comprenais pas à cette époque qu’avoir des rapports charnels à mon âge était anormal. Alors rapidement, ils nous arrivaient de nous enlacer fortement, comme il me l’expliquait, et si je ne partageais pas l’extase qui semblait irradier de son visage à chaque fois, je voyais là comme un simple partage supplémentaire.

A mes quinze ans, ma vie se résumait toujours à chasser, cuisiner, partager du temps avec mon cousin puis recommencer à nouveau. Heureusement, j’avais fini par développer une bonne maitrise du lancer de couteaux, allant parfois jusqu’à atteindre un oiseau à quarante pas de là lorsqu’ils venaient se réfugier dans les auteurs des grottes. Evidemment, je ne pensais pas qu’il s’agissait d’un don puisque personne ne me complimentait. En revanche, on ne me critiquait jamais non plus, comme quoi… Ca me paraissait d’une banalité absurde.
Mon oncle se faisait de plus en plus vieux et il finit par tomber malade, nous laissant alors à deux s’occuper de lui. Je ne sais pas si son fils adoptif l’aimait ou non, mais il ne prit pas grand soin de lui et je le voyais dépérir jour après jour en me demandant ce qui allait se passer une fois qu’il serait mort. Finalement, il arriva à tenir deux ans de plus… Comme quoi, il était plus solide qu’il ne le paraissait.

Je vous épargne la description de ces années ennuyeuses durant lesquelles il ne se passa rien de spécial. Mon oncle finit par mourir, nous laissant alors seuls à nos jeux diverses. Evidemment, au bout d’un moment, je commençai à me lasser de cette existence à regarder mon cousin partir nous chercher des vivres et revenir ensuite prendre mon corps. Ce n’était pas très réjouissant comme vie et si je n’en souffrais pas, l’ennui me gagna avec plus en plus d’intensité…
A dix-sept ans, si je ne me suis pas trompée, j’eus une pointe de curiosité qui se ficha en moi. Etrange sensation… Moi qui n’avais manqué de rien, voilà que je souhaitais découvrir quelque chose… En réalité, je me demandais surtout comment faisait mon cousin pour sortir dehors avec tous les dangers qui rodaient… Mon oncle nous avait tellement mis en garde, il ne fallait pas sortir, c’était un coup à subir toutes les souffrances et les malheurs du monde. Mais… Je n’avais jamais souffert, je ne savais même pas ce que c’était. Et puis, peut-être allait-ce être plus instructif qu’ici ? A moins que l’extérieur ne soit qu’une simple grotte mais plus immense que celle-ci…

J’osai enfin sortir un jour où mon cousin n’était pas là. Si j’avais su ce qui m’attendait…
Quand je mis le pied dehors, un air chaud me caressa le visage. Levant les yeux vers le haut, j’appris enfin ce qu’était le ciel… Tout était plus grand, plus coloré… C’était vraiment intéressant. Mais je m’étais attendue à ce que la lueur de la lune soit plus forte, il me semblait que mon cousin m’avait expliqué qu’elle était impossible à regarder en face…
Après avoir marché quelques temps dans ce qui semblait être une forêt de plantes immenses, je m’adossai contre la tige rugueuse et épaisse de l’une d’elles et fermai les yeux. Je ne me sentis même pas m’endormir…
Quelques heures plus tard, quand j’ouvris les paupières, je sus alors ce qu’était souffrir… Mes bras plaqués contre mon visage, la tête sur le point d’exploser, je sentais des larmes couler le long de mes joues tandis que je réfrénais des gémissements de douleur. C’était si vif, la lumière me transperçait les yeux, assaillait mon crâne comme des milliers d’aiguilles… Je comprenais mieux pourquoi mon oncle m’avait défendu de sortir… Alors ce fut avec la tête en feu que je perdis connaissance pour la première fois de ma vie.

Quand je me réveillai, j’étais à nouveau à l’ombre mais ma vue était encore un peu trouble. Allongée dans un lit, je devinai aisément que quelqu’un était venu me chercher. Mon cousin ? Non… Je ne reconnaissais pas son odeur…
Tournant la tête, je vis alors un homme se tenir de dos, s’affairant au-dessus d’une table. Me redressant en silence, du moins le croyais-je, il pivota aussitôt et m’adressa un sourire. Ca changeait des expressions auxquelles on m’avait habitué… Braquant mon regard dans le sien bien que ma vision n’était pas entièrement revenue, je notai rapidement le fait qu’il avait recouvert les fenêtres de draps opaques et que seules quelques bougies permettaient d’avoir une vue plutôt correcte. Quelqu’un de prévenant, décidemment…
Il se présenta aussitôt à moi. La quarantaine, la peau mate, il se nommait Ehrion et se présenta comme une ombre solitaire. Etrange façon de se présenter, je vous l’avoue… Mais ça me plut. Finalement, j’étais tombée sur quelqu’un d’intéressant…

Il accepta de m’héberger, m’initiant aux secrets de la vie. M’apprenant les plantes inconnues, comment supporter la lumière du soleil et les diverses attitudes à adopter en ville, je connus alors un monde totalement incroyable à l’immensité sans fin. A côté de ça, il loua mon aptitude à rester discrète et à me fondre dans l’ombre sans mal. Il ne tarda pas à m’apprendre que son rôle était non seulement de m’enseigner à vivre, mais aussi à survivre… Et pour cela, je devais me dresser face à la plus grande menace existante de ce monde : les assassins.
Meurtriers aux ambitions démesurées, il ne tarda pas à m’apprendre à faire la différence entre le bien et le mal. Souhaitant faire de moi une guerrière aguerrie et indépendante, il m’enseigna longuement sans chercher à me faire intégrer une quelconque bande. Pourtant, il ne me cacha pas le fait qu’il existait une organisation à laquelle il faisait partie il y avait quelques années… Mais il prit toujours garde de me faire intégrer le seul principe valable dans la vie : la liberté.
Je passai mes nouvelles années à m’entrainer, lui consacrant tout mon temps. Il m’envoyait en mission, parfois, me demandant d’assassiner telle ou telle personne ou bien telle ou telle famille. J’y arrivais, la majorité du temps, mais il m’arriva parfois de tomber dans quelques difficultés imprévues… C’était grisant, c’était peut-être le seul sentiment qui me faisait réellement du bien. Au final, je me sentais enfin exister…

Quelques années plus tard, mon maitre finit par se faire tuer dans une mission qui tourna mal. Je fus donc seule à m’en sortir, sauvant ma vie et me rendant compte en même temps que j’avais dépassé son niveau… J’étais donc du niveau d’un confirmé ? Ce n’était pas impossible, ça faisait un moment qu’il n’avait plus osé m’affronter en combat singulier. Amusant, je commençais à me trouver une nouvelle vocation.
Je ne tardai pas à amasser pas mal d’argent sur mes missions et mes contrats de mercenariat… Je me confrontai aussi à des assassins et à leurs apprentis, trouvant étrange qu’ils m’attaquent avec autant de férocité. Au final, je ne cessais de m’étonner quand je voyais la facilité avec laquelle je sortais de ces joutes… Qui sait, peut-être qu’il allait falloir que je déménage pour me trouver de nouvelles expériences ? L’idée de rentrer en contact avec la guilde des ombres me tentait. Solitaire, mon maitre m’avait aussi appris à trouver une meute dans laquelle me fondre le temps d’un carnage…










Je m'appelle Maëlys
J'ai dix-huit ans
Ce n'est pas mon premier forum RPG
C'est Nellou' qui m'a donné le lien!
Il n'y a pas de lumière sans ombre. (*clap clap clap*)


Dernière édition par Viladra Memphis le Dim 13 Jan - 12:43, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitimeJeu 27 Déc - 18:07

Bienvenue à toi !

Bon courage pour le reste de ta fiche ^^ nous ferons les commentaires une fois tout fait ^^
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MessageSujet: Re: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitimeVen 28 Déc - 12:30

Bienvenue camarade!!

Je sais que toi et moi on va faire de bien méchantes choses Very Happy

On attend impatiemment la fin de ta fiche, puisses-tu te plaire parmi nous ^^
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MessageSujet: Re: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitimeVen 28 Déc - 12:46

Bienvenue !!

PS : Ta présentation et juste... Wouah !! *o*
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MessageSujet: Re: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitimeLun 31 Déc - 10:58

VIL .... Qu'aurait on pu attendre autre chose de toi, c'est tout simplement splendide ^^
Finis vite qu'on fasse un Rp ensemble ou je me fais bottée les fesses ^^
Super cool que tu t"est inscrite, on sera toujours en contacte au moins quand tu auras quitté le fow d'Ewi ^^

Bonne continuation Very Happy (pour une fois je suis plus ancienne que toi dans le fow .... Mouhahahaha Cool )
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MessageSujet: Re: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitimeLun 31 Déc - 14:56

Et je suis son chef o/ je vais pouvoir me venger de... bah de je sais pas encore!
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MessageSujet: Re: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitimeMar 1 Jan - 23:25

Navrée Khalio, mais j'en ai parlé avec les filles, mon personnage se place en dehors de la hiérarchie des ombres Razz C'est ma seule condition pour être méchante Cool Mon personnage travaille seule. Terminé les grandes institutions de vilains... Mais vu qu'il n'y a pas de classe "indépendants assassins" j'ai du prendre Ombre par défaut Wink
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MessageSujet: Re: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitimeMer 2 Jan - 9:46

Indépendant Assassin ?

Dans le nouveau contexte il y a les loyaux et les rebelles...les rebelles font ce qu'ils veulent pour survivre......XD
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MessageSujet: Re: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitimeMer 2 Jan - 11:55

Je voulais dire, un assassin méchant (bah quoi? ) mais sans qu'il rentre dans une secte/ordre/guilde spécifique. Il serait plus du genre à oeuvrer seul et, dans certains cas, s'allier avec d'autres pour des objectifs communs
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MessageSujet: Re: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitimeMer 2 Jan - 13:19

ouais ok ^^ Préviens juste lorsque tu auras terminé ta fiche ^^ bon courage Wink
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MessageSujet: Re: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitimeMer 2 Jan - 19:58

finis ta preeeeeeeeeees' !!!!!
viiiiite ! je veux te complimenteeer ! XD et faire mon hystérique.


Bon par contre, fais gaffe à ce que ton histoire respect toujours le contexte... ^^'
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MessageSujet: Re: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitimeMer 2 Jan - 20:04

Raaaah Vil, je voulais te commander!! Sad
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MessageSujet: Re: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitimeJeu 3 Jan - 1:01

Je sais Cool

en fait, j'ai moyen compris l'univers dans lequel on était donc je fais une histoire genre... passe partout x)
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MessageSujet: Re: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitimeJeu 3 Jan - 10:36

.. tu veux des explications ? un dessin? Very Happy


(O.o c'est si compliqué que ça ..?)


edit :
Ben en gros, la base, c'est qu'à l'age de la majorité (18 ans), tous les enfants vont dans la grande ville la plus proche, afin d'être répartis dans leurs futures classe. C'est une cérémonie, où un représentant de chaque classe est présent (sauf ombre), et où ils doivent choisir s'ils veulent ce jeune adulte comme apprenti. (le dernier à s'assoir lors du décompte sera le maître)
Au final, chacun se retrouve dans une classe (artisan, sage, prêtre, guerrier,ect), où il évoluera. Ensuite, ils peuvent décider de quitter cet enseignement, pour se lancer dans les voix obscures du mal (Ombre), ou bien plus 'simplement', faire leur propre loi, cavalier seul. Dans le deuxième cas, ils continuent d'appartenir à une certaine classe, mais font leur vie comme ils l'entendent (des apprentis artisans, resteront toujours doués, dans le domaine qu'ils ont appris. Des apprentis archers, resteront doués avec leur arc)
ouala ! Smile


Dernière édition par Metkild le Jeu 3 Jan - 22:04, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitimeJeu 3 Jan - 11:22

Rien à voir, je sais, mais elle a c'te bouche Viladra!!
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MessageSujet: Re: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitimeVen 4 Jan - 1:31

quoimabouche? *sbaf*

terminé. Histoire baclée et non relue, je vous l'accorde, désolée Wink
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MessageSujet: Re: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitimeVen 4 Jan - 9:53

Alors j'ai lu ton histoire ^^

Pour ma part elle respecte tout de même correctement le contexte...même si tu n'appuies pas sur la sécheresse et les difficultés....

Je ne vois pas spécialement de quoi redire, donc on va attendre l'avis de Metkild ou Lola ^^ et ensuite t'auras droit à ton sujet de rp test XD même si on connais ton niveau héhé !
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MessageSujet: Re: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitimeVen 4 Jan - 16:52

ça me va ! Smile
je valide !


bon, puisse que tu passes immédiatement au niveau de maître, il te va falloir un petit rp test (mais oui, quel est donc ton niveau ?! :O)
Bon ça sera un sujet super dur, un heure chrono. ou pas.


Bon, je fai splein e trucs en même temps avant d'aller retourner bosser alors.. il est fort probable que j'oublie des bouts ! ^^'
Dans tous les cas...
BIENVENUE MA VILOUUUUUUUUUUUU !! Very Happy
Je suis contente de te voir ici !
Puisse-tu devenir gentille un jour ! *o*

(moi je préfères ses yeux... En fait tout est beau chez elle >.<)
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MessageSujet: Re: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitimeVen 4 Jan - 17:00

Le sujet..je vais le donner hein...

"Raconte-nous ce qu'il s'est passé lors de cette mission ou ton Maître à trouvé la mort."

Voili voilou a moins que Metkild ait quelque chose à redire ? ^^
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MessageSujet: Re: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitimeVen 4 Jan - 17:13

ok ça roule xD J'vous poste ça quand la motivation reviendra o/
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MessageSujet: Re: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitimeVen 4 Jan - 17:16

t'en fais pas ^^

tu postes à la suite là Wink
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MessageSujet: Re: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitimeJeu 17 Jan - 17:17





Reminescence.

"Quand viendra le matin livide,
Tu trouveras ma place vide,
Où jusqu'au soir il fera froid.

Comme d'autres par la tendresse,
Sur ta vie et sur ta jeunesse,
Moi, je veux régner par l'effroi."


Viladra Memphis  132960430919mSanstitre

Me remémorer cette histoire est si compliqué, pour moi… Non pas qu’elle m’ait marquée où qu’elle évoque encore aujourd’hui des émotions troublantes, loin de là, mais plus par le fait que je considère que les souvenirs… sont faits pour appartenir au passé et non au présent. Souviens-toi, souviens-toi… Voilà ce que j’entendis souvent et cette simple injonction causait en moi des efforts que je ne connaissais pas. Souviens-toi… Non, les souvenirs sont faits pour appartenir au passé. L’avenir seul, me tend les bras…

Viladra Memphis  128795154411

Voilà maintenant quatre ans que j’avais rencontré mon maître, et je me rendais compte que nous passions de moins en moins de temps ensemble. Vivant pourtant une vie aussi mouvementée que passionnante, nos relations de maître à élève s’étaient peu à peu étiolées pour atteindre un échange plus égal, plus fusionnel, aussi. Je n’étais pas particulièrement attachée à lui, je ne vous le cache pas, mais j’avais appris durant mon enseignement quelques principes de société que l’on ne change pas… Le système de dette, notamment. On donne, on reçoit, et puis on rend… Il m’avait offert son savoir, je l’avais assimilé et en retour je lui apportais ce qu’il n’avait pas connu depuis longtemps : de l’affection, une présence, une compagnie fiable… Et bien que tout cela soit en grande partie factice, qu’il l’ait deviné ou non, ce marché nous convenait parfaitement. Nous vivions donc posément et l’argent ne manquait pas bien que nous favorisions un cadre d’existence plutôt simple et sans superficialité… Mon niveau en combat avait prodigieusement monté en flèche et nous nous affrontions de moins en moins souvent lors de nos entrainements. Je le soupçonnais fortement de commencer à douter de sa supériorité et, estimant qu’il était inutile de dégrader une relation qui nous convenait à tous les deux, je n’insistai pas et poursuivis seule mon perfectionnement durant les missions que j’effectuais. Nous avions beaucoup de contrats… La population se méfiait parfois des Ombres qui, par leur notoriété, causaient des fois trop de crainte et d’appréhension. Dès lors, elle s’adressait à des mercenaires et des assassins moins connus mais dont les réussites avaient agi comme une confirmation de travail achevé concernant leurs missions… Ainsi, Ehrion mon maître et moi-même, nous ne manquions pas d’occupation… Et si je sentais toujours la sensation d’euphorie à chaque contrat accompli, je ne m’étais jamais doutée un jour que l’un de nous puisse mourir… A force de se bercer dans la saveur de la victoire, l’on vient à oublier à quel point la défaite peut être amère. Fort heureusement, je ne connus pas encore d’énormes traumatismes, juste un changement de vie radical…

Je ne me souviens plus du jour exact mais cette histoire remonte à bien un an d’aujourd’hui… Mon maitre et moi avions reçu un nouveau contrat stipulant que si nous assassinions un chef de grande famille du village voisin, nous aurions la possibilité de recevoir des armes de très belle facture en plus d’être grassement payés. Ce n’était pas le genre de mission que l’on refusait… Car si l’argent n’avait qu’une importance secondaire, il était toujours bon de recevoir de nouveaux outils utiles à notre travail… Nous avions donc attendu que la soirée tombe afin de profiter d’un air un peu plus frais, évitant ainsi une lumière trop vive qui m’agressait les yeux et la chaleur infernale du soleil sur nos têtes. Revêtant des vêtements sombres en cuir, nous nous armâmes minutieusement, délaissant les objets trop encombrants et bruyants. Fidèle à mon style de combat, je glissais simplement deux coutelas à longues lames à mes hanches et ceignis mes poignets, chevilles et cuisses d’armes de jeu, délaissant les arcs et les arbalètes. A la main, je pouvais toucher n’importe quelle cible et ce n’était pas pour me vanter… En revanche, le tir à l’arc, bien que je ne me débrouillais pas trop mal, était loin d’être mon point fort… Une activité que je laissais bien volontiers à ceux qui avaient choisi la voie d’archers.
Notre cible vivait dans un village à deux heures de chevauchée de notre base. Galopant sous la lune, nous évitâmes les routes habituelles, préférant couper à travers des passages savamment étudiés à l’avance, raccourcissant ainsi le temps du trajet et les risques d’être repérés. Evidemment, personne ne se formaliserait de voir un couple voyager ainsi, mais il était dans notre nature de ne pas se faire remarquer, quelle que soit la situation…

Quand nous arrivâmes sur place, la majorité de la population était endormie et seule la lueur des torches vacillantes accrochées le long des murs nous accueillirent. Quelques insomniaques se baladant encore au clair de lune, nous laissâmes nos montures dans un endroit discret et facile d’accès en cas de fuite avant de nous fondre dans l’ombre. Retrouvant ainsi une ambiance plus familière, ma vision habituée à l’obscurité s’améliora et mon ouïe s’affina tandis que nous glissions le long des bâtiments comme des courants d’air.
Nous stoppant soudainement derrière une haie taillée en forme d’oiseau, nous nous accroupîmes en même temps et, sans échanger un mot, Ehrion se tourna vers moi pour me lancer un regard entendu. Comprenant le message, j’acquiesçai simplement et m’éloignai alors de lui sans un bruit, traversant un morceau de pelouse qui bordait une large allée recouverte d’un sable fin. Atteignant alors une haute grille, je m’immobilisai derrière un rocher artistiquement décoré et fixai les deux gardes en faction à l’entrée qui semblaient somnoler contre le mur. De toute évidence, il s’agissait là d’amateurs qui ne devaient pas être habitués à être dérangés… Esquissant un mince sourire, amusée de leur insouciance, je m’en détournai pour bondir silencieusement vers le mur, m’agrippant sans bruit aux pierres espacées. Si l’un d’eux tournait la tête vers la gauche, il me verrait immédiatement et donnerait l’alerte… Mais ma capacité à me fondre dans l’ombre et la discrétion naturelle que j’avais acquise durant mon enfance souterraine se jouèrent d’eux et j’atteignis le sommet sans qu’ils ne se doutent de ma présente. Longeant alors le bord, je m’immobilisai au-dessus du portail et m’accroupis lentement, fixant les deux hommes qui continuaient de bailler aux corneilles.

L’art de tuer se délimite bien souvent en un seul geste, un seul souffle… Le dernier.

Souriant à nouveau lorsque la Voix résonna dans mon esprit, je compris le sens de ses mots et je sortis un unique couteau de lancer avant de dérouler la chaîne qui ceignait mes hanches. Inspiration, concentration, expiration…
Mon bras se tendit vers le bas et la lame se ficha profondément dans le crâne du premier. Mourant avant même avoir pu lâcher un cri, le second ouvrit la bouche pour donner l’alarme lorsque des maillons glacés s’enroulèrent autour de sa gorge, lui coupant la respiration et pénétrant profondément dans sa chair. Un geste, une simple secousse et le poids mort s’affala au sol, libérant mon arme serpentine. Rangeant tranquillement mes effets, je basculai alors de mon perchoir et retombai deux mètres plus bas, amortissant ma chute d’une roulade à la fin de laquelle je me redressai souplement. Lançant un faible sifflement semblable à bon nombre d’oiseaux nocturnes, Ehrion ne tarda pas à me rejoindre et nous tirâmes les corps jusqu’à des fourrés avant de se débarrasser de leurs armes au même endroit. Ouvrant la grille après avoir bloqué le système de cloche, nous quittâmes rapidement la voie principale qui menait à la demeure, préférant nous fondre dans les nombreux arbustes décorant le jardin.
Pourquoi avoir tué les gardes, me demanderez-vous ? Car nous n’étions jamais surs d’un imprévu, et il valait mieux se retrouver face à dix adversaires plutôt qu’à vingt… D’autant plus que notre commanditaire avait précisé que la mort d’autres personnes n’était absolument pas un problème. Autant œuvre jusqu’au bout.

Bien joué, Viladra…

Répondant d’un simple sourire, nous vîmes enfin la maison de notre cible. De belle taille, construite de façon symétrique, elle s’élevait sur trois étages et deux tourelles venaient l’encadrant, des passerelles en hauteur y donnant accès par la demeure. Autour d’elle, plusieurs gardes effectuaient leur ronde, le bruit de leur conversations feutrées remontant jusqu’à moi. Vu l’heure, notre proie se trouvait dans sa chambre… Il allait donc falloir passer vers le haut.
Contournant le jardin, il nous était désormais impossible de tuer l’un des membres de la sécurité puisqu’ils devaient savoir le nombre exact de ceux qui tournaient dans cette partie. Comptant dans notre tête pour connaître le temps d’intervalle entra chaque apparition, nous arrivâmes enfin à atteindre l’une des tourelles, nous dissimulant dans son ombre, le dos à la maison. Enfin, nous commençâmes notre ascension, évitant les fenêtres et nous immobilisant le temps qu’un garde passe lorsqu’un rayon de lune venait frapper notre trajectoire. Arrivant enfin au sommet, nous nous hissâmes sur le petit balcon qui faisait le tour de l’édifice et sortant un crochet de ma poche, j’entrepris de déverrouiller la serrure, grimaçant lorsqu’un léger déclic se faisait entendre. Au bout d’un temps interminable, le panneau de bois pivota sans un bruit et nous nous retrouvâmes à l’intérieur de ce qui semblait être une bibliothèque personnelle.

Si nous étions des voleurs, nous aurions trouvé un véritable butin… Murmura mon maître en effleurant un fragile instrument de cristal.

Souriant avec lui, nous restâmes quelques secondes à admirer les ouvrages reliés de cuir, les sculptures de marbre, les tissus précieux et bien d’autres merveilles encore qui, malgré notre gout pour la simplicité, ne pouvaient nous empêcher d’être admiratifs. Reprenant enfin notre mission en main, nous descendîmes l’escalier qui menait à l’étage inférieur après avoir vérifié que la voie était libre. Là, enfin, nous traversâmes la passerelle en plein air, rasant le parapet, le corps courbé pour ne pas être vus de l’extérieur.
Quand nous fûmes enfin à l’intérieur de la maison, le silence était tel que je sentis un sentiment de malaise m’envahir. Certes, la nuit il y avait peu de bruits, mais de là à ce qu’il y en ait aucun…
Nous traversâmes le couloir, nos pas assourdis par le tapis en velours. Ouvrant chaque porte avec minutie, nous tombions sur une suite de chambres luxueuses mais dénuées d’habitants. Enfin, à la dernière, lorsque j’entrouvris le battant, je pus voir la forme allongée d’un homme de taille massive qui sommeillait dans un large lit à baldaquin. Me tournant vers mon maître, je lui pointai notre cible du doigt et d’un accord tacite, nous pénétrâmes en silence, refermant doucement la porte derrière nous.

Et la proie devient le chasseur…

Fronçant légèrement les sourcils sous cette phrase sibylline, je laissai mon maître continuer jusqu’au lit et me redressai pour observer autour de moi. Il régnait dans la pièce une obscurité quasi-complète, à peine troublée par un mince trait de lumière qui perçait à travers de lourds rideaux en satin. Le rayon suivant une trajectoire rectiligne, il frappait la glace posée sur le mur opposée et se répercutait ensuite sur une paire de bottes. Une paire de bottes… ?
Ouvrant la bouche pour avertir mon maitre du danger, un gargouillement me devança alors et je vis sa silhouette s’affaler au sol, un liquide sombre jaillissant de ce qui semblait être sa gorge. Et la lumière fut… Vive, écrasante, douloureuse… Des torches accrochées le long des murs s’embrasèrent soudainement et je me retrouvai alors seule, au milieu d’une vaste pièce dans laquelle dix guerriers dégainaient leur épée, s’avançant vers moi. Reculant jusqu’au lit, je grimaçai de dépit en voyant le mannequin de bois allongé dans les draps et posai un regard désolé sur Ehrion qui, toujours vivant, agonisait à mes pieds. Notre stupide commanditaire avait dû faire une erreur et notre arrivée avait été attendue… Voilà qui n’était pas pour me plaire.

Vous êtes accusés de tentative d’homicide sur un personnage haut placé. La sanction est la mort.

Me tournant vers celui qui semblait s’être exprimé, je posai mon regard clair sur lui et penchai légèrement la tête de côté, pensive. Ils étaient dix et visiblement très bien entraînés. J’avais mal aux yeux, la tête commençait déjà à me tourner sous cette clarté soudaine et je me trouvais dans un lieu que je ne connaissais pas. Ho, à vue d’œil, en tuer les trois-quarts serait possible, mais pas sans dommage…
Je repérai ensuite l’homme se tenant en retrait, revêtu d’une robe de chambre luxueuse et affichant un sourire satisfait. Il correspondait à la description donnée… Mais il nous avait bien piégé. J’avais presque envie de le féliciter…
Bondissant soudainement en avant, j’esquivai d’une roulade une épée qui m’aurait coupé en deux et tendant les bras de chaque côté de mon corps, empalai deux adversaires qui se ruaient sur moi. Lâchant les manches avant de me faire emporter par le poids, je tirai à nouveau deux couteaux et les lançai sur les gardes se ruant dans mon dos, tranchant la gorge du premier et ralentissant le deuxième qui ne se l’était pris que dans l’épaule. Continuant mon avancée, deux gardes se postèrent près de leur maître tandis que les quatre autres couraient dans ma direction. Sautant alors, ils s’arrêtèrent dans un dérapage et levèrent les yeux vers moi, ahuris. Saisissant le lustre, j’utilisai mon élan pour atterrir de l’autre côté, juste entre les deux protecteurs de notre proie. Dégainant mes deux coutelas, j’en tuai un avant qu’il ne puisse commencer son mouvement et contrer le second, écopant d’une entaille le long du bras. Légèrement exaspérée, sentant le danger se rapprocher dans mon dos, je fis alors un geste peu gracieux et donnai un coup de tête à mon adversaire (dédi’ spéciale Nelou !) le surprenant suffisamment pour l’achever par la suite.

Je… Je vous en supplie ! J’ai des enfants et… et une femme… je…

L’homme tremblait de tout son corps et n’arrivait plus à parler. Les gardes dans mon dos s’étaient immobilisés, conscients que je pouvais tuer leur maître en une fraction de seconde s’ils tentaient quelque chose.
Il continuait de bégayer, croisant et décroisant nerveusement ses mains, les larmes coulant sur son visage tandis que je pouvais presque sentir la pression de sa vessie se relâcher sous la frayeur. Il était pâle… Pas autant que moi, mais chez un homme comme lui, ça lui donnait presque l’apparence d’un cadavre.

S’il vous plait ! Je… Je ne v…

Navrée. Le coupais-je d'une voix égale. Mais on ne m’a pas inculqué la pitié.

Ses protecteurs se ruèrent sur moi lorsqu’ils entendirent ces mots. Mais il était trop tard… Ma cible tomba au sol lourdement, sa tête roulant le long du parquet verni avant de se perdre sous le lit. J’avais déjà sauté, les bras repliés contre mon corps et la tête rentrée dans les épaules. Mes doigts se refermaient sur la chaîne passée à mon bassin et j’eus le souffle coupé lorsque la vitre explosa sous mon poids, la gravité me rattrapant irrévocablement. Ma main se tendant dans les airs, j’attendis le bon moment et lançai alors ma chaîne le long d’un reposoir à flambeau, espérant fortement qu’il tienne le coup… Le choc fut rude, je retins un gémissement de douleur lorsque le lien stoppa brutalement ma chute. L’impression d’avoir l’épaule arrachée, je donnai un coup de rein pour me propulser vers le mur et l’agrippai ensuite, descendant rapidement jusqu’au sol. Lançant un regard navré vers mon arme qui pendait toujours le long du mur, je ne pris pas la peine de tenter de la décrocher et courus sans un regard en arrière. Les guerriers présents à cet endroit me prirent en chasse mais le poids de leurs armures les ralentissant, je les dépassai sans peine, passant par-dessus le mur d’enceinte et les laissant derrière moi.

Chevauchant sous les étoiles, retrouvant le confort de la nuit, je laissai ma monture me guider et regardai la lune, plongée en pleine réflexion. Mon contrat avec Ehrion venait de prendre fin, de toute évidence. Qu’allais-je faire, désormais…



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MessageSujet: Re: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitimeJeu 17 Jan - 20:16

J'ai tout lu!! Et j'adooooooooooooore!!
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MessageSujet: Re: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitimeVen 18 Jan - 8:55

J'ai lu aussi (merci Khalio encore)

Je suis en cours hein, je prie pour que chez moi les forums remarchent XD

Donc pour ma part le sujet est respecté, comme on le sait très bien, le niveau de rp est plus que haut et donc pour moi je te valide Wink

Allez Metkild ou Lola, un accord et elle fera partie des Ombres !
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MessageSujet: Re: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitimeVen 18 Jan - 11:32

Merci Kev', merci ma killou =)
J'attends donc la dernière confirmation et je commencerai -enfin- à rper. Avec Khalio si tout se passe beien huhu
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MessageSujet: Re: Viladra Memphis    Viladra Memphis  Icon_minitime

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